Charlotte surfe sur Internet
Portrait de ma propriétaire
Le CAR- Ma seconde famille
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Le musée des horreurs
Malheureusement toutes les anciennes
n'ont pas ma chance et finissent au fond d'un champ ou d'une grange, loin
de la vue de potentiels restaurateurs qui s'arracheraient les cheveux
de désespoir de nous voir finir ainsi. Pour
éviter tout linchage, j'ai décidé de ne pas divulguer
les adresses des ôdieux tortionnaires.
Si vous connaissez de par chez vous
des épaves qui s'endorment bien tristement
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